Tinglado 1 inaugure « Santiago Arranz ». Entre art et littérature

Tinglado 1 ouvre l'exposition le 25 juillet, organisée par Ramon Casalé Soler, Santiago Arranz. Entre art et littérature. L'exposition peut être visitée jusqu'au 8 septembre.

Comme l'écrit Ramon Casalé Soler : « Santiago Arranz travaille généralement dans une perspective considérée comme unique, car la plupart des œuvres ont une symbolique particulière basée sur les émotions, les sentiments et surtout les humeurs qui gravitent en harmonie avec un ensemble d'alphabets schématiques et anthropomorphes qui se transforment en un métalangage spécifique, où la nature - le monde végétal, le monde animal ou le paysage lui-même - et le corps humain fragmenté deviennent des apparences ou des formes, dans une perspective qui combine la figure avec l'abstraction l'abstraction géométrique.

L'artiste divise l'espace d'exposition en trois sections, reliant les œuvres à certains textes littéraires, au monde de l'exil et aux livres d'artiste - en collaboration avec différents auteurs. Dans chacun d'eux, on remarque l'attrait et la fascination produits par certains des personnages que nous avons évoqués précédemment ainsi que par des auteurs tels que Gérard Georges Lemaire -à travers Les cafés littéraires et le Bestiare-, François Cheng -El exilio como posibilidad de una lengua nueva –, Stefan Zweig – L'exil comme échec et suicide – ou Antonio Machado lui-même – L'exil comme mélancolie intérieure –.

Cette dichotomie entre œuvre artistique et œuvre littéraire est un recueil d'aspects, d'anecdotes et de situations qui apparaissent dans les livres de ces extraordinaires écrivains, poètes et philosophes dont Santiago Arranz a su transférer soigneusement les œuvres, laissant la preuve que la parole et l'image servent à saisir la réalité ou l'irréalité de toute circonstance qui se produit ou non dans son environnement immédiat, mais qui pour l'artiste a une signification différentielle et graduelle, et donc il est nécessaire de la montrer telle qu'il la perçoit, et la meilleure façon de la vérifier est contempler Santiago Arranz. Entre art et littérature."